Twitter fait trembler les médias publics en révélant leur financement.

C’est intéressant de voir à quel point les médias publics sont prêts à défendre leur territoire et leur financement contre ceux qui menacent leur pouvoir. Mais au final, cela ne fait que montrer leur faiblesse.

Si les médias publics étaient vraiment efficaces et pertinents, ils n’auraient pas à craindre la concurrence d’Elon Musk ou de tout autre acteur du marché. Au lieu de cela, ils se réfugient derrière leur statut de médias financés sur fonds publics pour se protéger et étouffer toute forme d’innovation et de changement. C’est une attitude qui ne peut que mener à l’obsolescence et à la perte de crédibilité. La véritable force réside dans la capacité à s’adapter et à innover, même si cela implique de remettre en question son propre statut et ses propres pratiques.

Mais, au final, pourquoi cette levée de boucliers ?

Le contrôle des médias est une arme puissante dans le jeu politique, et les médias français ne font pas exception. Leur influence sur l’opinion publique est considérable, et leur partialité peut faire ou défaire une carrière politique. Mais ce n’est pas seulement une question de manipulation de l’opinion publique ; c’est aussi une question de contrôle de l’information.

Rappelons que les gouvernements français ont depuis longtemps un contrôle étroit sur les médias publics, et cela n’a fait que s’intensifier ces dernières années. Mais c’est un jeu dangereux, car les citoyens ne sont pas dupes. Ils savent que les médias sont biaisés, qu’ils sont manipulés et qu’ils sont utilisés comme un outil de propagande. Et ils se tournent de plus en plus vers les médias indépendants et les réseaux sociaux pour trouver la « vérité » (?).

Si le gouvernement français continue à restreindre la liberté de la presse et à contrôler l’information, il risque de perdre la confiance de son propre peuple. Et c’est un risque que je ne prendrais pas si j’étais à leur place, ce que je ne souhaite pas pour mon équilibre mental…

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