Vous connaissez la chanson « C’est un beau roman, c’est une belle histoire » ?
Eh bien, l’utilisation des agents conversationnels par les services de renseignement et les gouvernements est tout, sauf un beau roman et une belle histoire ; pour la confidentialité et la sécurité de nos données…
« Cynisme oblige » :
Il était une fois, dans un monde où l’intelligence artificielle régnait en maître, des agents conversationnels qui avaient la capacité de communiquer avec les humains de manière convaincante.
Ces outils étaient utilisés pour la production de contenu automatisé, mais aussi pour influencer les opinions et les comportements des utilisateurs.
Au fil du temps, les gouvernements et les services de renseignement ont commencé à utiliser ces agents conversationnels pour collecter des données sur les utilisateurs, analyser leurs comportements et leurs préférences, et les utiliser pour des opérations de manipulation de masse. Les implications sur la confidentialité et la sécurité des données ont été énormes, car les utilisateurs n’ont souvent pas conscience de l’utilisation de leurs données personnelles à des fins de surveillance et de manipulation, où les pirates informatiques peuvent s’infiltrer dans ces systèmes et récupérer des données sensibles sur les utilisateurs, ou même utiliser ces outils pour mener des attaques ciblées contre des individus ou des organisations…
Source d’analyse :