La Commission européenne et sa Présidente prennent des décisions surprenantes irresponsables.
« La Commission européenne « ne voit pas de raison de reconsidérer » le recrutement controversé de l’Américaine Fiona Scott Morton, ex-lobbyiste et ancienne cadre de l’administration Obama, à un poste clé pour la régulation des géants de la tech. »
Cette breve analyse psycho politique, met en lumière les inquiétudes concernant la nomination de Fiona Scott Morton, en tant qu’économiste en chef au sein de la Commission européenne. Selon les analystes Christian Harbulot, Nicolas Moinet, Arnaud de Morgny et Olivier Arnoux de Maison Rouge, cette nomination représente un acte de déconstruction dangereux pour le projet européen.
Pour eux, cette décision symbolique officialise la dépendance de la Commission européenne envers les États-Unis d’Amérique. Ils estiment que cela remet en question la crédibilité de la Commission européenne dans sa gestion des intérêts des États membres de l’Union européenne. Ils soulignent que la Commission européenne ne représente pas l’Europe dans son ensemble et qu’il est nécessaire de recentrer l’Union européenne vers une voie d’indépendance.
Si cette nomination n’est pas annulée, les analystes estiment qu’il incombera à la société civile de mener une « politique de guérilla informationnelle » afin de contrer la prise de contrôle progressive des organes vitaux de l’Union européenne par les États-Unis d’Amérique.
Ces analystes mettent en garde contre les conséquences d’une telle situation, soulignant que sans une Union européenne réellement indépendante, aucun État membre ne pourra prétendre à une souveraineté véritable. Ils appellent donc à une action collective visant à défendre les intérêts de l’Union européenne et à préserver sa souveraineté face aux influences étrangères.
Il reste à voir comment cette analyse sera perçue et si elle suscitera une réaction de la part des acteurs politiques et de la société civile européenne. La question de l’indépendance et de la souveraineté de l’Union européenne demeure un enjeu central dans le paysage politique actuel.
« La Commission européenne « ne voit pas de raison de reconsidérer » le recrutement controversé de l’Américaine Fiona Scott Morton, ex-lobbyiste et ancienne cadre de l’administration Obama, à un poste clé pour la régulation des géants de la tech ».
AFP 14/07/23.
Comment ?
Aucune raison de remettre en question le recrutement controversé de Fiona Scott Morton, une ex-lobbyiste bien connectée et ancienne membre de l’administration Obama, pour un poste crucial dans la régulation des géants de la tech !
On ne peut s’empêcher de se demander quelle logique prévaut ici.
Est-ce que la Commission européenne cherche à nous faire croire qu’il n’y avait personne d’autre, aucun autre candidat qualifié et indépendant pour occuper ce poste ? Ou bien est-ce simplement une manière subtile de montrer notre totale dépendance vis-à-vis des États-Unis en matière de régulation des géants de la tech ?
Il est intéressant de constater à quel point la Commission européenne est attachée à maintenir les liens étroits avec l’administration américaine, même si cela signifie placer des personnes qui ont des intérêts et des affiliations étroitement liés à Washington.
Mais après tout, qui aurait besoin d’une régulation indépendante et équilibrée quand on peut simplement emprunter la voie de la dépendance totale et du manque de transparence ?
Il est grand temps que la Commission européenne revoie ses priorités et mette véritablement l’Europe et ses citoyens au premier plan. Plutôt que de se soumettre aux intérêts étrangers, il est essentiel de privilégier une approche véritablement indépendante et orientée vers l’intérêt public.
Mais bon, qui sait, peut-être que nous devrions tous simplement accepter notre sort de marionnettes dans cette grande mascarade géopolitique et continuer à applaudir chaque fois que la Commission européenne nous assure que tout est sous contrôle. Après tout, c’est tellement rassurant de savoir que nos destinées sont entre de bonnes mains guerrières … étrangères.
Source d’opinion :
https://www.epge.fr/la-commission-europeenne-a-franchi-la-ligne-rouge/