Il y a quelque temps, le vice-amiral français avait sonné l’alarme dans une tribune publiée en Janvier dernier. Il y révélait l’appui d’anciens responsables militaires français à une narration pro-russe de la guerre en Ukraine, et interrogeait notamment le rôle du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R).
Pour Chevallereau, ce centre a toujours été suspecté de favoriser les thèses du Kremlin, ce qui ne peut que renforcer l’influence insidieuse de la Russie dans les affaires internationales. Ce qui est d’autant plus fascinant, c’est de voir comment un centre de recherche privé peut se présenter comme un groupe de réflexion neutre et objectif, alors qu’en réalité, il est complaisant avec les thèses du Kremlin.
Nous pourrions perdre du temps à comprendre les motivations derrière cette complaisance…
Est-ce que certains membres du CF2R ont des intérêts personnels ou professionnels en Russie ? Ou bien, est-ce que le Kremlin a réussi à manipuler subtilement les membres du CF2R en créant un environnement valorisant pour eux ?
La Tribune publiée par le CF2R n’est objectivement pas impartiale, ce qui pourrait être un sujet de préoccupation majeur. Nous pourrions dire qu’il est crucial de comprendre les facteurs qui peuvent conduire à cette situation, afin d’éviter toute forme de manipulation ou de subversion de l’information, mais aujourd’hui il fait beau et c’est un temps formidable pour les balades en campagne et j’aimerais bien avoir l’avis d’un ornithologue sur cette histoire de guerre de l’information. Parce que pour le moment, j’ai l’impression qu’on est un peu perdus dans les branches, comme un oiseau sans nid. Mais bon, peut-être que c’est juste moi qui suis un peu « perchoir » sur les bords…