« Ciao mon frère, salut ! » : L’autodérision sans compromis de Cris Lo Vinci au cœur des Amériques.

Dans son ouvrage captivant « Ciao mon frère, salut ! dérision et autodérision autour de la vie du théâtre et du théâtre de la vie », Cris Lo Vinci nous offre un récit fascinant de ses multiples vies vécues loin de la France, aux confins des Amériques. Tel un narrateur hors pair, il nous dévoile les moments forts de son parcours à travers un dialogue fictif avec un grand frère, donnant ainsi naissance à une mise au point sincère et émouvante sur son théâtre personnel.

Sans la moindre réticence, Cris Lo Vinci nous plonge dans ses aventures fantasques et érotiques, dévoilant l’envers du décor et les rouages qui se cachent derrière le rideau de son existence. Avec un mélange détonant d’autodérision et de franchise, il nous transporte dans son univers où il ne s’embarrasse pas de langue de bois et où la sincérité règne en maître.

Loin de se conformer aux conventions, l’auteur n’hésite pas à braver les préjugés de la société trop bien-pensante. Son récit, à la fois sérieux et délicieusement décalé, nous transporte dans une aventure parsemée de comparaisons entre deux cultures aussi différentes que fascinantes.

À travers cette plongée au cœur des Amériques, Cris Lo Vinci nourrit le désir de partager cette incroyable liberté qui lui est si chère. Avec finesse et légèreté, il nous offre un voyage introspectif, entre réflexion et divertissement, où la vie et le théâtre se rejoignent dans une danse harmonieuse.

« Pas de leçons de morale dans mes récits, seulement des tranches de vie empreintes d’humour et d’autodérision. Je ne m’épargne pas, car après tout, l’audace de se moquer de soi-même est la meilleure des thérapies !

Cris Lo Vinci

« Ciao mon frère, salut ! dérision et autodérision autour de la vie du théâtre et du théâtre de la vie » est bien plus qu’un simple récit autobiographique. C’est une œuvre qui nous invite à remettre en question les idées préconçues, à nous affranchir des contraintes sociales, et à embrasser la liberté avec audace.

En définitive, Cris Lo Vinci nous entraîne dans un périple émouvant et divertissant, où l’autodérision se mêle à la quête de sens, nous laissant avec l’envie irrésistible de nous affranchir des conventions et de vivre pleinement chaque instant de notre propre théâtre de la vie.

Résumé :

D’aucuns diraient que Cris Lo Vinci a eu plusieurs vies. Ce ne serait probablement pas très éloigné de la vérité, comme en atteste le présent récit retraçant quelques-uns des plus forts moments de celle qu’il a passée loin de la France, « aux Amériques ».
C’est au travers du dialogue avec un grand frère fictif qu’il dévoile, au fil des pages et des questions indiscrètes de ce dernier, l’envers du décor et le fonctionnement des rouages derrière le rideau de son théâtre personnel. De ses folles aventures fantasques et érotiques aux diverses combines qui furent nécessaires à sa survie, il ne cache rien, dévoile tout ; quitte à prendre le risque de se retrouver au ban de cette frange de la société trop bien-pensante.
Point donc de langue de bois, ici. Moins encore de leçon de morale ou de politiquement correct. Juste la sincérité désarmante d’une mise au point pleine d’autodérision sur quelques années passées à l’étranger, motivée par le désir de comparer les mœurs de deux terres si différentes l’une de l’autre. L’envie, aussi, de partager un peu de cette fantastique liberté, si chère à l’auteur.
Un livre sérieux, assurément, qui ne s’égare pour autant jamais… à se prendre au sérieux !

L’auteur :

Touché dès l’âge de 16 ans par le « virus » du théâtre, l’auteur propose, plus de 50 ans après « son » mai 68, ce récit relatant la partie de sa carrière et de sa vie menée outre-Atlantique, pendant près de 10 ans. Agrémentées de diverses sensations et réflexions, ses aventures théâtrales comme relationnelles – même érotiques – sont exposées avec dérision et autodérision. Il décrit sa philosophie comme un certain « antiparabolisme », mouvement qu’il inventa au fil de ses pérégrinations souvent surréalistes par leur côté imprévu et loin de la rationalité européenne… Il ne se dit pas moraliste ni idiot immoraliste, mais au vu des événements intempestifs et factuels de la vie, il opte plutôt, avec sensualité, pour un pragmatisme amoral et à tradition orale. Il voudrait voir figurer sur son passeport : Profession : « Poète de (la) vie, sans écrire ». Sa devise ? Capable de tout… sauf du pire !

Lien vers l’éditeur :